Les violences sexuelles sont le lot quotidien de plusieurs millions de femmes et de jeunes filles à travers le monde.
Comme tous les ans dans les pays d’Afrique du Nord, des festivités sont organisées à l’occasion du nouvel an amazigh. D’un pays à l’autre, les cérémonies se multiplient et les revendications se font nombreuses. Les Amazighs d’Algérie, de Libye et de Tunisie réclament notamment la reconnaissance de la langue amazighe comme langue officielle, au même titre que l’arabe. Seul le Maroc bénéficie d’une reconnaissance officielle de la langue amazigh.
Lundi 9 janvier 2017, les autorités locales déléguées du Ministère de l’Intérieur au Maroc ont surpris les artisans couturiers dans nombre de villes par une décision interdisant la fabrication et la commercialisation des burqas (vêtement islamiste recouvrant la totalité du corps, y compris le visage).
La nuit, cet espace-temps trompeur dont les images fabuleuses transmises par les poètes et les médias ont leurré ceux qui se laissent séduire par la magie des lieux obscurs… Mais quiconque plongerait dans les profondeurs des rues et des ruelles marocaines ne manquerait pas de remarquer l’ombre dessinée par de nombreuses silhouettes qui, de pauvres haillons sous le bras, se faufilent en rasant les murs dans l’espoir de dissimuler leur misère aux regards curieux et de trouver un abri sûr où passer la nuit, n’ayant pour toute couverture que le froid et les pluies qui leur tombent du ciel.
« Bghina scanner fi Tanghir » (« Nous voulons un scanner à Tanghir »). Tel est le titre de la campagne virtuelle lancée sur une page Facebook par des activistes originaires de la province de Tanghir dans le sud-est du Maroc. Le but de cette campagne est d’attirer l’attention des responsables sur la nécessité d’améliorer les services de santé dans la région et de les exhorter à pourvoir la région d’un scanner.
Alors que les citadins jettent sur les fiefs du désert un regard où la répugnance se mêle à la terreur des obscurités impénétrables et des soleils intransigeants, quelques Sahraouis du Sud marocain s’attachent encore à la tradition nomade ancestrale et s’accrochent viscéralement à leurs activités pastorales qui sont d’ailleurs leur principale source de revenu. Ainsi, plutôt que de s’établir sous des toits en béton, ils préfèrent se déplacer entre les dunes de sable, avec leurs chameaux et leurs brebis à la poursuite des cours d’eau et avec pour seules provisions du blé, de l’orge et du lait de chamelle. Cependant, depuis quelques années, avec la sécheresse, les pâturages qui se font rares et les difficultés de se déplacer, leurs souffrances ne cessent de se multiplier...
« Depuis plus de sept ans, nous souffrons de la soif et nous sommes obligés de parcourir de longues distances avant d’arriver au canal de Douar Ayet Lahbib pour y puiser l’eau ». C’est en ces termes qu’Amina décrit la souffrance quotidienne endurée avec plusieurs autres femmes qui doivent comme elle marcher longtemps pour ramener un peu d’eau, cet élément vital indispensable à la survie dans cette région célèbre pour ses chaleurs suffocantes.
La situation de la femme a certes évolué au Maroc durant les dernières décennies. Le taux de scolarisation de la gente féminine a plus que doublé et la femme occupe désormais de hauts postes de responsabilité. Toutefois, la question de la violence à l’égard des femmes se pratique à grandes échelles, notamment dans les milieux ruraux. De récentes statistiques montrent même qu’une femme sur deux a fait l’objet de violences, dont plus de 50% dans le cadre conjugal .
Le mariage entre cousins est très courant pour plusieurs tribus de la société saharienne. Il faut que les deux époux aient un lien de parenté...
La crise de l'emploi au Maroc a poussé certains titulaires de diplômes universitaires à s’orienter vers des métiers qui n’ont rien à voir avec leurs spécialités, afin de subvenir à leurs besoins.
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