Des problèmes d’infrastructure, d’équipements et de médicaments touchent le centre médical de Toubrouk depuis la révolution du 17 février. Une souffrance que partagent citoyens et staffs médicaux. L’hôpital dépasse régulièrement sa capacité maximale d’accueil.
Depuis sa renaissance, la mairie de Toubrouk ne cesse de faire face à de nombreux problèmes dus à l’absence d’un budget constant et le blocage des projets d’investissement à cause des violations du plan national, ainsi que le pillage des domaines de l’Etat, selon le doyen de la municipalité, Neji Mazek.
Les expressions «vendeurs de médicaments par terre » ou « pharmacie par terre » font références aux vendeurs qui proposent des médicaments sur le trottoir. Le phénomène augmente de jour en jour à Bamako, comme partout au Mali. Il est, semble-t-il, en dehors de tout contrôle.
Malgré une population de plus de 238 mille personnes et une superficie de 23.910 km2, la ville de Laâyoune ne compte que deux hôpitaux avec une absence totale du secteur médical privé. Il s’agit de l’hôpital Moulay Al Hassan Ibn Al Mahdi, qui comporte le seul service d’urgences de la ville, ainsi que celui de la médecine générale, et l’hôpital Hassan II réservé aux spécialités médicales mais équipé de matériel vétuste et poussiéreux.
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